Juste l'espoir d'une évasion
Trop d'envies s'accumulent en ce moment et ne trouvent pas d'échappatoire. Rêves de rencontres, de lieux inconnus, de légèreté, de danses, rêves d'amour, rêve de s'envoler, rêve de vivre dans ses rêves...ah, rêves, rêves, rêves... que j'aimerai voir se matérialiser de temps en temps. Sale impression de vivre en demi teinte...
En attendant je continue à contempler ce mur en face de moi. Rêves de démolition...
posted by Broutille at 7:03 PM
16 Comments:
Le plus important et que tu continues a rever.Il ne faut pas perdre espoir.C'est a force de reves que les choses se realisent.
Brett > merci pour tes petits mots d'espoir! ne t'inquiete pas j'ai juste mes moments de lassitude...
André > en effet, mais c'est parfois très frustrant de tendre continuellement le bras vers quelque chose qui semble rester à la même distance... (tiens ça me rappelle que quand j'étais petite, je pensais qu'il était possible d'attraper la lune en montant sur une montagne assez haute! c'est peut être pour essayer de l'attraper que je rêve souvent que je vole...)
il faut perdre espoir. Question de santé mentale. Préliminaires à la vie.
Ce n'est pas à force de rêver que les choses se réalisent. Au contraire.
un anonyme du 31 rue Doudeauville (qui embrasse la personne qui tient ce blog)
André :
oh oui c'est à tord, ne t'en fait pas! Parfois j'aime bien dramatiser et me complaire là dedans
Cher MP...décidément je vous adore! vous et votre petit ton cynico-tragique qui me fait beaucoup de bien (j'aurai reconnu sans l'adresse) bisoous
Dreamstock,
O.K. Là, tu me rassures. À la suite de cette publication, je t'avoue que je ne savais pas trop bien comment m'y prendre pour écrire un commentaire.
As-tu fini tes révisions?
Bonne fin de soirée ( la mienne n'est pas encore commencée ),
André.
Non, mon concours est le 30 mai, d'ici là... je n'ai pas le loisir de faire grand chose d'autre que travailler... (d'où mon envie de me morfondre pour compenser les frustrations!)
il n'y a pas de rêves, il n'y a que des actes en gestation.
Sinon pour surfer sur les propos de l'anonyme du 31 rue doudeauville, je m'en vais faire mienne une citation de Schopenhauer "il n'y a aucun espoir, alors prenez le!"
et puisque je suis dans une periode tres citation en voila une autre:
"si vous voulez que vos rêves se réalisent, alors ne dormez pas" qui m'évoque beaucoup de chose, par exemple tes nuits d'insomnies...
pour finir une derniere citation bien chiante mais nécessaire:
"a mesure que la nécessité se trouve socialement rêvée, le rêve devient nécessaire. le spectacle est le mauvais rêve de la société moderne enchainée, qui n'exprime finalement que son désir de dormir. le spectacle est le gardien de ce sommeil."
En lisant les autres coms et surtout les citations dans celui de l'inonyme de chateau rouge, j'ai repenser a une phrase que j'ai decouvert grace a Immature:"Rien de grand ne s'est accompli dans le monde sans passion".Je ne veux pas lançer ici un debat d'idées mais je voulais juste ajouter qu'on a tous notre moteur pour avançer.Certain en faisant le deuil de l'espoir ou des reves mais moi je resterai acroché a tous ça:les reves, la passion, l'imaginaire sans eux il n'y aurait que le monde sans ce qui fait de nous ce que nous sommes.Enfin pour moi
c les coeps!
on aime bien t poèmes, ils sont très poétiques mais on comprend pas tou
on a trouvé une phrase que l'on ne comprend pas et on voulait que tu nous l'expliques :
il n'y a pas de désert assez vaste
que ne puisse traverser
celui que porte la musique des étoiles *
merki!!!!! les débiles
Brett :
"les reves, la passion, l'imaginaire sans eux il n'y aurait que le monde sans ce qui fait de nous ce que nous sommes" : je suis d'accord, c'est joliment dit ça. Moi aussi bien sur que je suis accrochée à ça. Et presque autant, je suis accrochée à l'humour : c'est pour ça que j'adorai ce qu'a dit l'anonyme du 31 rue doudeauville (beaucoup d'anonymes ici vous ne trouvez pas ?), le second degré c'est tout simplement délicieux (syndrôme daria) après peut etre n'en était ce pas mais le connaissant je pense que si.
L'Anonyme :
faudra que tu m'explique plus amplement la derniere sitation, là je suis bien trop fatiguée pour bien la comprendre. Sinon, j'aime beaucoup les autres.
ps : en fait ce ne sont pas des nuits d'insomnie, c'est juste que je n'aime pas aller me coucher!
André :
je prépare le concours de médecine, et la premiere année n'est pas des plus faciles...
Mes cheres débiles :
des poemes poétiques ?! la prochaine fois je ferais plus gaffe, merci de le signaler. Quand à la petite phrase que vous vouliez décripter eh bien.. je ne vous conseille pas d'essayer de comprendre, à chacun de ressentir (ou non) la poésie non? no keys
c'est dingue, je suis tellement crevée que je crois que je vais aller me coucher. Bonne nuit mes zouzous (je vous rassure dans mon état normal, je n'emploie pas ce genre de mot.)
Bons rêves...
André.
rêver est nécessaire, mais il faut faire attention que ce ne soit pas les rêves des autres...Pour Guy Debord il semblerait qu'il soit trop tard. "le spectacle" cette bouillabaisse d'images, de communicants politiques, mixer avec notre soif d'egotripe a réussi à supplanter "nos" rêves. Ces rêves "originaux" ont été remplacés par d'autres, nécessaires pour la bouillabaisse mais ultranéfaste pour notre liberté, donc à notre capacité de créer notre propre rêves. En clair nous ne rêvons plus, nous consommons des rêves déjà prémachés qui participe à notre allienation.
j'aime bien ma notion de "bouillabaisse" pour remplacer le concept pompeux debordien de "spectacle" et autre "société de consommation" baudrillardienne...
D'accord, expliqué je comprends mieux !
justement je suis partagée entre pleins de reves contradictoires, des rêves qui ont surement du m'etre plus ou moins injecté (parce que bon, même "bouillabaisse" à part je ne crois pas que les reves fleurissent tous seuls dans notre esprit sans avoir subis dans leur fabrication quelques influences externes...)
Mais en tout cas cette fameuse bouillabaisse me desespere, on dirait que tout le monde a le même stupide "idéal" , les idées personelles et originales n'ont pas survécues à tout cela, à de trop rares exceptions...
forcement les rêves n'arrivent pas pouf comme ça...
disons qu'il s'agit pour Debord de rêves d'émancipation, de liberté, que la boullabaisse remplace par des rêves de consommation ou d'idéaux uniformisés.
Pour le reste tu n'as pas encore tout vu ! après le monde étudiant il y a le monde du travail qui est bien pire...les trops rares exceptions rentrent alors elles aussi dans le rang.
Ma plume et moi écrivons sur ce papier blanc
Des mots qui riment ensemble, des mots d'amour,
Des mots d'émotion, des mots de tous les jours,
Des mots sur tout, un sujet si grand
Ma plume me permet de me vider un peu
Ma plume me permet d'écrire mes malheurs,
Mes profonds sentiments venant droit du coeur
Ma plume me permet de résister au mieux
C'est la dernière chose qui m'appartient
La seule chose qui au monde m'est très chère,
La chose qui peut calmer toutes mes colères,
L'unique chose qui peut me faire du bien.
pitit poeme dedié a jud de la part des coep (ki lon pondu el meme....)
si tu en a marre de nou pk on sali ton blog avec nos imbecilité di le nou on arrete
o fait on aime bien ton blogue et meme si tu veu plu kon ecrive on continura a venir le voir o moin une fois par semaine voilou bisou
c'est gentil (mais... les fautes d'ortographes façon texto bof bof...)
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